Éducatrice Canine Professionnelle en Méthode Amicale et Positive et Coach en Rééducation Comportementale.
J'ai suivi une formation chez ANIMALIN (Ecole Française du Clicker Training) dans le Gers en 2008.
Cette formation était assurée par Catherine COLLIGNON - Joël DEHASSE - Gabriella CENDERELLI.
Je suis Formatrice des maîtres de Chiens Catégorisés sur les départements de la Haute Saone (70), la Côte d'Or (21) et le Jura (39).
C'est toujours avec un grand plaisir que, depuis 2015, j'organise et/ou anime des stages divers et variés que ce soit à l'Ecole Canine, chez d'autres professionnels ou en club canin.
Je propose aussi du coaching en Obéissance compétition
J'aborde cette discipline en tenant compte des comportements du chien, de la relation avec son conducteur, dans le jeu et de manière ludique, à l'aide du clicker.
Je me tiens à disposition des équipes de tous niveaux, de la préparation du CSAU à la Classe 3.
J'ai participé à de nombreux stages avec différents intervenants, (Carmen Bennett, John Eklof, Gabriella Cenderelli, Marc Meunier, Françoise Burton, Gaël Carpentier, Dani Diaz) ceci pour me tenir au courant des dernières avancées techniques en Obéissance.
Je suis également Monitrice d'Education Canine
(Passage et obtention du MEC1 et du MEC2)
Dès que je le peux, j'interviens bénévolement, au sein du Club Canin Thisien (25) où je suis adhérente.
De l'équitation à l'éducation canine
Comme beaucoup j'ai commencé l'éducation de ma chienne Berger Allemand, il y a de très nombreuses années ,au collier étrangleur voire à piques. Mais je trouvais ma chienne sans joie, dans la contrainte, j'ai donc cessé l'éducation et nous allions nous promener toutes les deux. Elle était si heureuse que je me suis mise à penser que ce genre de collier ne convenait pas aux chiens.
Je faisais en même temps de l'équitation que je débutais... Quand je voyais tous ces chevaux qui eux aussi été contraints, qui devaient pendant des heures tourner en rond, comme mon chien, dans un manège ou une carrière, avec des mors de plus en plus durs dans la bouche, et que l'on faisait sauter, essuyant des refus et les corrections allant crescendo......
Là aussi une fois mes degrés obtenus (galop 9 Eperon de Vermeil), je décidai d'avoir un cheval mais chez moi. Je pris donc une jument dont personne ne voulait, et qui était destinée à la boucherie, attendant la mort dans un lugubre hangar et dans le noir total, car soit disant très difficile et ne voulant pas sauter. Grâce à la complicité qui nous a unie pendant de longues années nous avons fait du concours complet et toujours aux classements.